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Dimanche au soleil : quand la piste devient un four et les athlètes des petits pains ! 🌞🏃‍♂️

Ah, ce dimanche ! Le soleil tapait comme un marteau sur l’enclume de notre belle piste d’athlétisme de Seraing, transformant nos coureurs en véritables rôtis ambulants. Mais qu’à cela ne tienne, nos warriors du bitume étaient au rendez-vous pour leur dose hebdomadaire de souffrance volontaire !

Le menu du jour : du grand spectacle ! 🎭

Au programme, un petit cocktail explosif : 1 tour de piste à 95-100% de VMA (traduction pour les non-initiés : « courir comme si un lion vous poursuivait »), suivi de 3 tours à l’allure spécifique semi ou marathon. Autant dire que le premier tour ressemblait à une course-poursuite digne d’un film d’action, tandis que les trois suivants évoquaient plutôt une marche funèbre… mais en accéléré !

Fabi, qui reprenait après ses vacances bien méritées, s’est littéralement liquéfiée sous nos yeux ! Entre deux respirations haletantes, elle ressemblait à une fontaine humaine. « Les vacances, c’est fini ! » semblait dire chaque goutte de sueur qui perlait sur son front. Mais quelle guerrière, elle a tenu bon ! 💪

Christel, elle, continue son ascension vers l’excellence ! Elle maîtrise de mieux en mieux son allure semi, apprivoisant cette cadence comme un dompteur avec son lion. On la sent de plus en plus confiante, et c’est un plaisir de voir cette progression !

Marie-Jeanne avait opté pour le menu « répétitions courtes et intenses » – normal, elle est en pleine période d’affûtage ! Pendant que les autres enchaînaient les tours, elle explosait sur des distances plus courtes. Du pur spectacle de vitesse ! ⚡

Ingrid, notre missile à pattes, était encore une fois en pleine forme et rapide comme l’éclair ! Elle s’habitue parfaitement à intégrer de l’endurance fondamentale dans son échauffement. Une vraie machine de guerre qui nous fait tous complexer !

Petit bémol du jour : Catherine a été gênée par une petite crise d’asthme, mais a gardé sa légendaire bonne humeur ! Rien ne peut entamer son sourire, même quand ses bronches font des siennes. Chapeau l’artiste ! 😊

Et comment oublier Véro ! Quand nous sommes arrivés sur la piste, elle était déjà là, enchaînant ses tours avec cette régularité d’horloge suisse qui la caractérise. Véro et ses interminables tours de piste, c’est une institution ! Pendant que nous nous échauffions encore, elle avalait déjà les kilomètres, fidèle à son rituel matinal. Cette constance force le respect – elle donne le ton avant même que l’entraînement officiel commence !

Le saint Graal du ravitaillement 🥤

Après 3 séries de 1600 mètres qui ont transformé nos jambes en coton et nos poumons en soufflets de forge, direction le stand de ravitaillement ! Ah, ce moment sacré où le 0 sucre coule à flots et où la TK (Thé Kombucha pour les non-initiés) fait des miracles !

On aurait dit une oasis dans le désert, sauf que nos bédouins portaient des chaussures de running et transpiraient leur poids en eau ! Le retour au calme (ou RAC pour les intimes) n’était qu’un prétexte pour rejoindre ce paradis des papilles assoiffées. D’ailleurs, après un tel effort, on peut dire que nos athlètes étaient vraiment « RACcrochés » à leur bouteille ! 😄

Un grand merci à Amélia qui a immortalisé nos exploits avec son gsm ! Grâce à elle, nous avons de magnifiques souvenirs de cette séance mémorable ! 📸

Pourquoi s’encadrer dans un vrai club ? La différence qui change tout ! 🏆

Mes chers lecteurs, laissez-moi vous expliquer pourquoi courir seul dans son quartier, c’est comme essayer de réparer sa voiture avec un tournevis en plastique : ça peut marcher, mais bon courage !

Dans notre club (l’un des 8 meilleurs de Belgique, je le rappelle modestement), vous bénéficiez de :

  • Une infrastructure digne de ce nom : une vraie piste d’athlétisme, pas le trottoir défoncé du coin de la rue !
  • Des entraîneurs diplômés qui savent faire la différence entre un 400m et un 4x100m (si, si, ça existe encore les gens qui confondent !)
  • Un suivi personnalisé avec des allures calculées scientifiquement, pas au pifomètre
  • Une émulation de groupe : rien de tel que de voir son voisin souffrir autant que soi pour se sentir moins seul !
  • Du matériel adapté : plots, chronomètres, et surtout… le fameux stand de ravitaillement !

Et parlons montres connectées ! Certes, on pourrait courir tout seul en regardant sa montre dernier cri, mais franchement, qui va vous expliquer ce que signifient tous ces chiffres ? Votre montre vous balance des zones de fréquence cardiaque, des VO2max estimés, des temps de récupération… mais sans un entraîneur pour décrypter tout ça, c’est comme avoir une Ferrari sans permis de conduire !

Un entraîneur, c’est celui qui va vous aider à définir vos vraies zones cardiaques, à comprendre pourquoi votre montre vous dit de vous reposer alors que vous vous sentez en forme (ou l’inverse !), et surtout à personnaliser votre entraînement selon VOS capacités, pas selon l’algorithme d’une machine !

Alors oui, la technologie c’est formidable, mais où serait le plaisir de partager sa souffrance et de rigoler ensemble après l’effort ?

Rendez-vous dimanche prochain pour une nouvelle séance de torture… euh, d’entraînement ! Et n’oubliez pas : « La douleur est temporaire, la gloire est éternelle »… enfin, au moins jusqu’au prochain entraînement ! 😄

PS : Amélia, encore merci pour les superbes photos qui illustrent parfaitement nos moments de gloire… et nos grimaces de souffrance !

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