La vie dans le groupe « Développement Sprint »
La phase de préparation spécifique,
les choses sérieuses commencent !
Pendant ces quatre semaines, nous allons travailler en préparation physique spécifique, selon le système de masse critique : cela signifie que nous allons accumuler un volume d’entraînement stratégique pour surtout maximiser les adaptations musculaires et cardiovasculaires, en vue d’aboutir à un pic de forme, un pic de performance.
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Notre travail va renforcer la force, l’explosivité et votre technique, pour que vous soyez prêt(e) à maintenir des vitesses très élevées sur nos distances du sprint. Des exercices ciblés sur les jambes, le tronc, et la réactivité amélioreront votre stabilité, puissance et capacité à produire des départs explosifs en compétition.
Le but est d’atteindre une base physique solide qui vous servira lors de la prochaine phase, orientée vers les spécificités de la saison en salle sur les compétition des 60 m, 200 m, et 400 m.
Nous utiliserons une progression d’intensité pour que vos muscles s’adaptent sans surmenage (promis, on fait gaffe Zina 😉 ), vous préparant ainsi à exploiter au mieux cette condition en compétition. Au terme de ce cycle, vous serez prêt(e) pour les ajustements finaux qui cibleront la vitesse pure et l’endurance spécifique aux courses de sprint en salle.
La séance du samedi 2 novembre,
la modélisation du 200 sur 150 mètres
À l’aide du système Freelap, Alice, Amira, André, Ève, Giada, Jasmine, Lucie, Nathan et Zoé apprennent à modéliser leur course sur le 200 mètres.
Lise et Estelle, qui reviennent de blessure, se testent sur le « tempo 200 ».
Superbe séance ce matin les athlètes, et grand merci à Lise pour les photos.






L’endurance spéciale…

En sprint, la « special endurance » (ou endurance spécifique) désigne la capacité d’un athlète à maintenir des vitesses proches de son maximum sur des distances plus longues que celles de la course cible. Elle est cruciale pour les épreuves de sprint prolongé, comme le 200m et le 400m, car elle permet de supporter l’accumulation de fatigue due aux efforts intenses.
La « special endurance » se divise souvent en deux catégories :
- Special Endurance 1 : cible des distances de 150 à 300 mètres pour des sprinteurs de 200m et 400m. L’objectif est de maintenir un rythme rapide sur une distance qui dépasse la course cible. Cela développe la capacité à tolérer l’acide lactique, améliorant ainsi la performance à haute intensité.
- Special Endurance 2 : se concentre sur des distances encore plus longues, souvent entre 300 et 600 mètres, à une intensité légèrement inférieure. Cela améliore la capacité de l’athlète à maintenir sa vitesse malgré la fatigue croissante, en renforçant la résistance physique et mentale.
En somme, la « special endurance » permet d’allonger la durée pendant laquelle un athlète peut courir à des vitesses élevées, un atout précieux pour les derniers mètres d’une course.
Travail de qualité Georges merci 👌
Trop bien fait Georges !! Tu gères